Longtemps considéré comme un loisir de grand-mère, le tricot séduit de plus en plus d’hommes. Certains n’hésitent plus à sortir leurs aiguilles en public. Et quand ils se mettent au tricot, c’est du sérieux.
Comme tous les mercredis soirs, Thomas se rend dans un café genevois pour aller tricoter en groupe. Sans grande surprise, Thomas est le seul homme présent ce soir. « Il y a eu très longtemps un tabou sur l’homme qui tricote, mais je pense que ce tabou, aujourd’hui a été levé. Le fait qu’il y ait de plus en plus d’hommes qui tricotent ouvertement, qui se laissent voir et en parlent, ça a ouvert la porte à des gens qui n’auraient jamais pensé tricoté », explique Thomas.
Thomas tricote depuis l'âge de 8 ans.Christophe fait partie de ces hommes qui ont été inspirés. « J’ai découvert le tricot grâce à un ami qui avait commencé à tricoter alors qu’il vivait au Canada. C’était la période de Noël et je me suis dit que ce serait une bonne idée de fabriquer mes cadeaux moi-même. Pour moi, c’est une façon de retourner à des valeurs plus terre à terre », explique Christophe. Pour faire ses premières mailles, ce trentenaire genevois a décidé de commander un kit de tricot sur Internet. Dans le paquet, il y a un mode d’emploi, une paire d’aiguilles et trois pelotes. Pour ce premier essai, Christophe va tenter de faire une écharpe.
Très vite, on peut obtenir de bons résultats. C’est en tout cas l’expérience Jérémy, à la tête de Golden Hook.qu’a faite Jérémy Emsellem. Il y a quelques années, Jérémy apprend a crocheter des bonnets avec une amie. Rapidement ses amis passent commande. Jérémy est débordé et va demander un coup de main à sa grande tante et ses copines qui sont en maison de retraite. Devant le succès des bonnets tricotés par les grand-mères, une année à peine après avoir appris à crocheter, Jérémy décide de lancer son business. Aujourd’hui, le jeune parisien vit du tricot et vend ses produits « faits main » un peu partout dans le monde.
Les exemples de créateurs qui font parler d’eux ne manquent pas. De quoi décomplexer leurs congénères. Alors messieurs, Osez !
Comme tous les mercredis soirs, Thomas se rend dans un café genevois pour aller tricoter en groupe. Sans grande surprise, Thomas est le seul homme présent ce soir. « Il y a eu très longtemps un tabou sur l’homme qui tricote, mais je pense que ce tabou, aujourd’hui a été levé. Le fait qu’il y ait de plus en plus d’hommes qui tricotent ouvertement, qui se laissent voir et en parlent, ça a ouvert la porte à des gens qui n’auraient jamais pensé tricoté », explique Thomas.
Thomas tricote depuis l'âge de 8 ans.Christophe fait partie de ces hommes qui ont été inspirés. « J’ai découvert le tricot grâce à un ami qui avait commencé à tricoter alors qu’il vivait au Canada. C’était la période de Noël et je me suis dit que ce serait une bonne idée de fabriquer mes cadeaux moi-même. Pour moi, c’est une façon de retourner à des valeurs plus terre à terre », explique Christophe. Pour faire ses premières mailles, ce trentenaire genevois a décidé de commander un kit de tricot sur Internet. Dans le paquet, il y a un mode d’emploi, une paire d’aiguilles et trois pelotes. Pour ce premier essai, Christophe va tenter de faire une écharpe.
Très vite, on peut obtenir de bons résultats. C’est en tout cas l’expérience Jérémy, à la tête de Golden Hook.qu’a faite Jérémy Emsellem. Il y a quelques années, Jérémy apprend a crocheter des bonnets avec une amie. Rapidement ses amis passent commande. Jérémy est débordé et va demander un coup de main à sa grande tante et ses copines qui sont en maison de retraite. Devant le succès des bonnets tricotés par les grand-mères, une année à peine après avoir appris à crocheter, Jérémy décide de lancer son business. Aujourd’hui, le jeune parisien vit du tricot et vend ses produits « faits main » un peu partout dans le monde.
Les exemples de créateurs qui font parler d’eux ne manquent pas. De quoi décomplexer leurs congénères. Alors messieurs, Osez !